- EAN13
- 9782402205177
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (La Colombe - Éditions du Vieux Colombier)
- Date de publication
- 1961
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Marchés et marchands d'Afrique Noire
Jean Charbonneau, René Charbonneau
FeniXX réédition numérique (La Colombe - Éditions du Vieux Colombier)
Livre numérique
Son caractère insolite, c’est sa matière toute crue, son humanité toute simple
aux prises avec les problèmes matériels et psychologiques posés par
l’évolution des peuples. Pas de statistiques, peu de chiffres : « Marchés et
Marchands », c’est d’abord un milieu social. Une première partie nous rappelle
la nature même des échanges et nous montre pourquoi et comment les États
souverains tendent à en modifier le mécanisme. Une deuxième partie dresse un
tableau des commerçants blancs d’Afrique ; sociétés capitalistes en effort
d’adaptation continuelle, commerçants privés luttant contre l’étouffement,
grecs, portugais, libanos-syriens s’accrochant à ces pays où ils doivent
rester coûte que coûte. La troisième partie traite de la promotion des
africains au commerce, des « Grandes Invasions » des peuples marchands, des
résistances régionales… Mais les Africains ne se contentent pas d’africaniser
l’Afrique ; ils africanisent — et humanisent en même temps — les idéologies
étrangères, le socialisme en particulier…
*[XIXe]: Dix-neuvième
aux prises avec les problèmes matériels et psychologiques posés par
l’évolution des peuples. Pas de statistiques, peu de chiffres : « Marchés et
Marchands », c’est d’abord un milieu social. Une première partie nous rappelle
la nature même des échanges et nous montre pourquoi et comment les États
souverains tendent à en modifier le mécanisme. Une deuxième partie dresse un
tableau des commerçants blancs d’Afrique ; sociétés capitalistes en effort
d’adaptation continuelle, commerçants privés luttant contre l’étouffement,
grecs, portugais, libanos-syriens s’accrochant à ces pays où ils doivent
rester coûte que coûte. La troisième partie traite de la promotion des
africains au commerce, des « Grandes Invasions » des peuples marchands, des
résistances régionales… Mais les Africains ne se contentent pas d’africaniser
l’Afrique ; ils africanisent — et humanisent en même temps — les idéologies
étrangères, le socialisme en particulier…
*[XIXe]: Dix-neuvième
S'identifier pour envoyer des commentaires.