- EAN13
- 9782802803690
- Éditeur
- Presses universitaires Saint-Louis Bruxelles
- Date de publication
- 28/05/2019
- Collection
- Travaux et recherches
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
De la religion que l’on voit à la religion que l’on ne voit pas
Les jeunes, le religieux et le travail social
Maryam Kolly
Presses universitaires Saint-Louis Bruxelles
Travaux et recherches
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782802803690
- Fichier PDF, libre d'utilisation
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
11.99
Autre version disponible
-
Papier - PU SAINT LOUIS 18,00
Comment les jeunes Bruxellois en cursus d'assistant social se projettent-ils
dans le métier ? Qui sont ces intervenants sociaux - et surtout intervenantes
sociales - de demain (dans un secteur fortement féminisé) ? La ville de
Bruxelles est le théâtre de violentes disparités socio-économiques et d'un
enseignement que l'on peut qualifier d'ethnoségrégé. Les liens entre jeunes
s'y construisent dès lors avec force sur des bases identitaires - en référence
tant au local (commune, quartier) qu'à l'histoire migratoire ou, encore, à la
religion. À partir d'entretiens, Maryam Kolly relaie ici une « parole
minoritaire » portée par de futurs travailleurs sociaux qui se disent
catholiques ou musulmans, descendants de migrants venant du Maghreb ou
d'Afrique subsaharienne. Érigée contre les logiques de disqualification
(modernité/islam, Europe/Afrique, jeunesses d'en haut/d'en bas, non
croyants/croyants), cette parole nous invite à un décentrement par rapport à
l'expérience euro-occidentale.
dans le métier ? Qui sont ces intervenants sociaux - et surtout intervenantes
sociales - de demain (dans un secteur fortement féminisé) ? La ville de
Bruxelles est le théâtre de violentes disparités socio-économiques et d'un
enseignement que l'on peut qualifier d'ethnoségrégé. Les liens entre jeunes
s'y construisent dès lors avec force sur des bases identitaires - en référence
tant au local (commune, quartier) qu'à l'histoire migratoire ou, encore, à la
religion. À partir d'entretiens, Maryam Kolly relaie ici une « parole
minoritaire » portée par de futurs travailleurs sociaux qui se disent
catholiques ou musulmans, descendants de migrants venant du Maghreb ou
d'Afrique subsaharienne. Érigée contre les logiques de disqualification
(modernité/islam, Europe/Afrique, jeunesses d'en haut/d'en bas, non
croyants/croyants), cette parole nous invite à un décentrement par rapport à
l'expérience euro-occidentale.
S'identifier pour envoyer des commentaires.