La littérature en instance, de l’alchimie littérature & vie, via
EAN13
9782814501539
Éditeur
PublieNet
Date de publication
Collection
Critique & Essai
Langue
français
Fiches UNIMARC
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La littérature en instance

de l’alchimie littérature & vie, via "La maladie de la mort" de Marguerite Duras

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Critique & Essai

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782814501539
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De ce qui se passe quand on écrit, bien sûr on ne sait rien, mais on consacre
une quantité infinie de forces, de mécaniques, à essayer d’appréhender et ce
vide, et ce vertige.

Et ceux qui nous y emmènent le plus près, sont seulement ceux qui sont le plus
apte à nous le dire en tant que vertige, à le questionner en tant qu’obscur.

Les trois textes ici rassemblés de Pascal Gibourg sont trois figures de la
même approche : pour l’écrivain, écrire est forcément une obsession,
commence-t-il dans le troisième texte. C’est cette obsession qu’on accepte, et
qui nous requiert alors sans reste.

A chacun sa grille et ses outils pour appréhender la question unique. Pascal
Gibourg l’a éduquée et formée dans Blanchot. Sur publie.net, nous accueillons
déjà un texte qui est aussi cette approche, mais cette fois creusant
l’invention de Michaux, le fantastique et le corps : Facultés de Michaux.

Et, si Proust n’est pas nommé, comment ne pas lire dans le magnifique premier
texte une approche du temps particulièrement active pour penser l’invention de
la Recherche ?

Nous souhaitons privilégier, dans publie.net, cette approche réflexive de la
littérature par ceux qui l’écrivent. On pourra être en complet désaccord avec
l’approche violente de Pascal Gibourg concernant La maladie et la mort de
Marguerite Duras qui fait le centre de cette étude. C’est bien de réouvrir
l’approche aujourd’hui de ce qu’est écrire qui compte, aux temps du consensus
marchand : que le débat advienne, il y a la place ici pour accepter d’autres
ouvertures, d’autres réflexions.

Néanmoins, ce qui ici travaille, c’est la langue : comment elle se forme,
comment elle se risque. Merci à Pascal Gibourg de bien vouloir le mettre en
partage.

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