Maisons vides
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EAN13
9782897127985
Éditeur
Mémoire d'encrier
Date de publication
Collection
Roman/Récit
Langue
français
Langue d'origine
castillan, espagnol
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Maisons vides

Mémoire d'encrier

Roman/Récit

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782897127985
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    10.99

  • Aide EAN13 : 9782897127992
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    10.99

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J’ai adoré ce livre, l’écriture est très forte, on retrouve le rythme de la
langue espagnole dans la traduction. Un grand récit sur la douleur et la
culpabilité qui se complexifie jusqu’à la fin. Le thème de la maternité est
enclavé dans le thème social et politique du Mexique d’aujourd’hui. La
maternité dans le livre est une métaphore de la société. Je pourrais faire une
thèse de doctorat sur ce roman ! – Élise Turcotte, Libraire de force C’est
très bien décrit, il y a beaucoup d’éléments qui en feraient un très bon film.
– Mariana Mazza, Bonsoir bonsoir Le regard de Brenda Navarro est acéré sur une
société mexicaine marquée par la misère, l’argent sale, les disparitions, le
crime …Et il souligne qu’en ce qui concerne les violences faites aux femmes
aucun milieu, aucun pays n’est épargné. – Christiane Sistac, Mare nostrum Une
très belle réussite de la rentrée. Cette Navarro est à suivre. – Daniel
Rolland, Culturehebdo.com Le portrait que dresse Navarro de la maternité et
ses répercussions est insolite, limpide et original. Un début captivant d’une
écrivaine à surveiller. – Irish Times Un grand roman : intense, addictif,
révélateur. – i Paper Une critique sociale acerbe des enjeux de classe et de
race… Une nouvelle voix marquante s’introduit dans la littérature mexicaine. –
Morning Star Le récit scindé en deux incite à lire le roman comme une
compétition – laquelle des deux femmes souffre le plus? Or, les rouages du
hasard conspirent contre les deux, et le manque de solidarité envers ces
femmes, à la fois liées et piégées dans leurs propres histoires, ne fait
qu’amplifier l’ironie du drame. Portrait de la cruauté, ce roman n’est
pourtant pas cruel, il est rempli d’empathie, mais une empathie qui nous met
au défi. – The Guardian Dans une prose précise et dévastatrice, Maison vides
aborde des sujets tels que l’intimité, la violence domestique, l’inégalité
sociale, la solitude, la culpabilité et l’amour. – Elle (Espagne) Un roman
inoubliable : ses pages incarnent certaines des plus belles oeuvres. – El País
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