- EAN13
- 9791094787984
- Éditeur
- Metvox Publications
- Date de publication
- 22/08/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9791094787984
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Contrairement à ce que le titre de cet ouvrage pourrait laisser penser, nous
ne sommes pas en présence d’un réquisitoire contre Maximilien Robespierre mais
bien plutôt d’un plaidoyer en faveur de l’Incorruptible.
Loin d’être le personnage psychorigide assoiffé de sang, il aurait plutôt été
un homme tout empreint d’un sens de la justice et de l’équité qui n’aurait
fait appel à la violence uniquement parce que les événements le commandaient.
L’argumentation que développe Albert Matthiez est très bien documentée et
plutôt cohérente. Il apporte de nombreuses preuves qui viennent conforter sa
thèse notamment grâce aux Carnets de Robespierre qu’il analyse
méticuleusement. Mais l’interprétation qu’il tire de ces Carnets n’est-elle
pas pour une part subjective du fait de l’admiration qu’il porte au personnage
? Concernant l’œuvre de Robespierre, ne parle-t-il pas de l’élixir Robespirre
? Une expression qui relève plus de l’adulation que d’un travail d’historien.
Une telle admiration lasse-t-elle suffisant de recul pour prendre toute la
mesure d’une personnalité aussi complexe ?
Robespierre se voulait un homme vertueux. L’était-il vraiment ? L’essentiel du
débat entre ses partisans et ses adversaires porte sur cette question qui
paraît difficile à trancher du fait de sa subjectivité.
Cet ouvrage aidera le lecteur à se faire une opinion.
ne sommes pas en présence d’un réquisitoire contre Maximilien Robespierre mais
bien plutôt d’un plaidoyer en faveur de l’Incorruptible.
Loin d’être le personnage psychorigide assoiffé de sang, il aurait plutôt été
un homme tout empreint d’un sens de la justice et de l’équité qui n’aurait
fait appel à la violence uniquement parce que les événements le commandaient.
L’argumentation que développe Albert Matthiez est très bien documentée et
plutôt cohérente. Il apporte de nombreuses preuves qui viennent conforter sa
thèse notamment grâce aux Carnets de Robespierre qu’il analyse
méticuleusement. Mais l’interprétation qu’il tire de ces Carnets n’est-elle
pas pour une part subjective du fait de l’admiration qu’il porte au personnage
? Concernant l’œuvre de Robespierre, ne parle-t-il pas de l’élixir Robespirre
? Une expression qui relève plus de l’adulation que d’un travail d’historien.
Une telle admiration lasse-t-elle suffisant de recul pour prendre toute la
mesure d’une personnalité aussi complexe ?
Robespierre se voulait un homme vertueux. L’était-il vraiment ? L’essentiel du
débat entre ses partisans et ses adversaires porte sur cette question qui
paraît difficile à trancher du fait de sa subjectivité.
Cet ouvrage aidera le lecteur à se faire une opinion.
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