- EAN13
- 9782221119242
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 20/12/2012
- Collection
- Essais Laffont
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782221119242
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
10.99
Autre version disponible
-
Papier - Robert Laffont 22,00
" Jean-Marie Gourio est un artisan de la langue. C'est un généreux qui sait
inventer des mots et les parer de couleurs inattendues. Ses Brèves de comptoir
ont créé un genre littéraire à part entière et sont maintenant citées par les
meilleurs dictionnaires. Cocasses et désopilantes, triviales ou poétiques,
prosaïques ou oniriques, toujours savoureuses, elles s'inscrivent dans une
tradition illustrée par Raymond Queneau, Jacques Prévert, Marcel Aymé, et qui
fait la part belle à la parole populaire. "
Daniel Rondeau
Les Brèves de comptoir sont nées il y a vingt ans. Ce sont de petites phrases
entendues dans les cafés. Un peu partout. Chaque jour. Place Maubert ou à
Rennes, à Annecy, à Talloires, dans les cafés de Strasbourg ou de Sens. Dans
le petit bistrot d'un village de Bourgogne perdu au milieu des champs. Dans un
PMU de Vitry. Dans ces minuscules troquets miraculeusement vivants dans ces
rues minuscules elles aussi mais désertes. Au fil des jours et des ballades.
Au fil du temps. Des jours de pluie. Il suffit d'être au comptoir avec les
gens. Juste écouter pour le plaisir. Et noter ces mots dits en liberté. Qui
poussent vivement sur les comptoirs comme les coquelicots le long des routes.
inventer des mots et les parer de couleurs inattendues. Ses Brèves de comptoir
ont créé un genre littéraire à part entière et sont maintenant citées par les
meilleurs dictionnaires. Cocasses et désopilantes, triviales ou poétiques,
prosaïques ou oniriques, toujours savoureuses, elles s'inscrivent dans une
tradition illustrée par Raymond Queneau, Jacques Prévert, Marcel Aymé, et qui
fait la part belle à la parole populaire. "
Daniel Rondeau
Les Brèves de comptoir sont nées il y a vingt ans. Ce sont de petites phrases
entendues dans les cafés. Un peu partout. Chaque jour. Place Maubert ou à
Rennes, à Annecy, à Talloires, dans les cafés de Strasbourg ou de Sens. Dans
le petit bistrot d'un village de Bourgogne perdu au milieu des champs. Dans un
PMU de Vitry. Dans ces minuscules troquets miraculeusement vivants dans ces
rues minuscules elles aussi mais désertes. Au fil des jours et des ballades.
Au fil du temps. Des jours de pluie. Il suffit d'être au comptoir avec les
gens. Juste écouter pour le plaisir. Et noter ces mots dits en liberté. Qui
poussent vivement sur les comptoirs comme les coquelicots le long des routes.
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