- EAN13
- 9782221179888
- Éditeur
- FeniXX rédition numérique (Robert Laffont)
- Date de publication
- 1987
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Une irruption de deux minutes, chaque soir, à l'heure d'écoute la plus forte à
la télévision : pendant sept ans, Laurène L'Allinec a incarné le droit à la
parole du citoyen. Une prise de parole, brève, en plein cœur du système, en
face de pouvoirs organisés et puissants. Passant d'une chaîne à l'autre, plein
cadre, Laurène L'Allinec a animé, confronté, plaidé. Quel rôle a joué
l'émission D'accord, pas d'accord ? Quelles ont été les pressions, les
censures ? Comment le droit de critique peut-il s'exprimer à la télévision ?
Observatrice attentive et généreuse, Laurène L'Allinec livre ici un témoignage
vivant et rigoureux à travers neuf grands dossiers et dresse un état des
lieux. Numéro 1 dans la cote de confiance des Français, loin devant les partis
politiques, les syndicats ou les élus, le consumérisme est à un tournant.
Institutionnalisé par la droite libérale, tenu en laisse par la gauche
associative, il entre aujourd'hui dans les mœurs, au moment ou la
communication est devenu le terrain de choix de la consommation. Au-delà des
discours misérabilistes ou moralisateurs, l'auteur ouvre des perspectives,
pour un autre débat civique, souvent réduit à une gigantesque machine à sous.
la télévision : pendant sept ans, Laurène L'Allinec a incarné le droit à la
parole du citoyen. Une prise de parole, brève, en plein cœur du système, en
face de pouvoirs organisés et puissants. Passant d'une chaîne à l'autre, plein
cadre, Laurène L'Allinec a animé, confronté, plaidé. Quel rôle a joué
l'émission D'accord, pas d'accord ? Quelles ont été les pressions, les
censures ? Comment le droit de critique peut-il s'exprimer à la télévision ?
Observatrice attentive et généreuse, Laurène L'Allinec livre ici un témoignage
vivant et rigoureux à travers neuf grands dossiers et dresse un état des
lieux. Numéro 1 dans la cote de confiance des Français, loin devant les partis
politiques, les syndicats ou les élus, le consumérisme est à un tournant.
Institutionnalisé par la droite libérale, tenu en laisse par la gauche
associative, il entre aujourd'hui dans les mœurs, au moment ou la
communication est devenu le terrain de choix de la consommation. Au-delà des
discours misérabilistes ou moralisateurs, l'auteur ouvre des perspectives,
pour un autre débat civique, souvent réduit à une gigantesque machine à sous.
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