- EAN13
- 9782234065444
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 25/02/2009
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782234065444
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Le titre est emprunté au film Casablanca : c’est en se souvenant de leur
idylle dans le Paris d’avant l’occupation allemande que les deux amants
réussissent à continuer à vivre, à se séparer s’il le faut et à suivre chacun
son propre chemin. En puisant dans ce trou de lumière.
Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du « merveilleux », à sa
naissance et son cours à travers la vie d’un homme – la sienne –, l’auteur
nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière.
Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, on passe de
l’enfance avec les premières apparitions du merveilleux – que ce soit des mots
« magiques », des animaux « fabuleux », des objets magnétiques ou des
situations nouvelles – à ses prolongements directs à l’âge d’homme.
Il n’est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages.
Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l’Afrique, et de
Julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n’est pas l’ombre du
toujours énigmatique B. Traven.
idylle dans le Paris d’avant l’occupation allemande que les deux amants
réussissent à continuer à vivre, à se séparer s’il le faut et à suivre chacun
son propre chemin. En puisant dans ce trou de lumière.
Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du « merveilleux », à sa
naissance et son cours à travers la vie d’un homme – la sienne –, l’auteur
nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière.
Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, on passe de
l’enfance avec les premières apparitions du merveilleux – que ce soit des mots
« magiques », des animaux « fabuleux », des objets magnétiques ou des
situations nouvelles – à ses prolongements directs à l’âge d’homme.
Il n’est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages.
Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l’Afrique, et de
Julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n’est pas l’ombre du
toujours énigmatique B. Traven.
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