- EAN13
- 9782234068254
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 25/08/2004
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Un homme regarde, sur un écran, des scènes pornographiques. Mais ce ne sont
pas des acteurs qui jouent la comédie. La jeune femme qui se soumet aux désirs
de ce partenaire inconnu est l’auteur de ce livre étonnant et incorrect, La
vie sexuelle de Catherine M. Comment cela a-t-il commencé ? Étonné, indigné,
indifférent ou amusé parfois, devant ce que les gestes et les soupirs
révèlent, Jacques Henric tente de raconter. Mais comment raconter une vie
amoureuse ? La grâce de la première rencontre, la fascination pour la jeune
femme sans interdit qui se dit « hors du mal » ? Toutes les littératures – de
Proust à Bataille, de Sade à Anaïs Nin – ont décliné les joies du sexe,
l’abîme de l’amour, l’expérience violente de la jalousie. Les romantiques et
les libertins ont mis en scène l’énigmatique jouissance féminine, la crudité
érotique et le cynisme pornographique. Qui est la jeune femme sur l’écran ?
Une victime humiliée ou une déesse perverse ? Elle est la femme aimée, celle
qu’il contemple dans son sommeil. À la brutalité des images, Jacques Henric
oppose son amour absolu, sa tendresse que rien ne peut abîmer. Et cette
certitude : « À la fin des fins, il n’y aura eu que nous. »
pas des acteurs qui jouent la comédie. La jeune femme qui se soumet aux désirs
de ce partenaire inconnu est l’auteur de ce livre étonnant et incorrect, La
vie sexuelle de Catherine M. Comment cela a-t-il commencé ? Étonné, indigné,
indifférent ou amusé parfois, devant ce que les gestes et les soupirs
révèlent, Jacques Henric tente de raconter. Mais comment raconter une vie
amoureuse ? La grâce de la première rencontre, la fascination pour la jeune
femme sans interdit qui se dit « hors du mal » ? Toutes les littératures – de
Proust à Bataille, de Sade à Anaïs Nin – ont décliné les joies du sexe,
l’abîme de l’amour, l’expérience violente de la jalousie. Les romantiques et
les libertins ont mis en scène l’énigmatique jouissance féminine, la crudité
érotique et le cynisme pornographique. Qui est la jeune femme sur l’écran ?
Une victime humiliée ou une déesse perverse ? Elle est la femme aimée, celle
qu’il contemple dans son sommeil. À la brutalité des images, Jacques Henric
oppose son amour absolu, sa tendresse que rien ne peut abîmer. Et cette
certitude : « À la fin des fins, il n’y aura eu que nous. »
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