- EAN13
- 9782246479796
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 04/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782246479796
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A douze ans, en 1951, il milite aux Jeunesses communistes. Il adhère ensuite à
l'UEC pour s'opposer à la guerre d'Algérie, puis devient médecin. Il découvre
à Cuba la violence castriste. Alors il passe de la politique à l'aventure et
parcourt la plupart des guerres civiles et des lieux de désastre. Gastro-
entérologue, il apprend sur le terrain la chirurgie de guerre. C'est l'époque
des French Doctors, de Médecins sans Frontières puis de Médecins du Monde : la
Jordanie de Septembre noir, les tremblements de terre en Amérique latine et en
Afrique, le Kurdistan, l'Irlande du Nord, la chute de Saïgon, les boat-people
en Mer de Chine, Beyrouth, l'Afghanistan, la Somalie, récemment le Rwanda
massacré. Des millions de morts. Pour que tout cela trouve un écho, Bernard
Kouchner prend souvent la parole. Très souvent. Devenir ministre de l'Action
humanitaire et de la Santé donne plus de portée à sa voix. Ainsi peut naître
son "droit d'ingérence", consacré par l'ONU. Dès la première phrase, Bernard
Kouchner donne le ton : "Je crois qu'il faut s'attendre au pire : c'est la
meilleure façon de rester optimiste...".
l'UEC pour s'opposer à la guerre d'Algérie, puis devient médecin. Il découvre
à Cuba la violence castriste. Alors il passe de la politique à l'aventure et
parcourt la plupart des guerres civiles et des lieux de désastre. Gastro-
entérologue, il apprend sur le terrain la chirurgie de guerre. C'est l'époque
des French Doctors, de Médecins sans Frontières puis de Médecins du Monde : la
Jordanie de Septembre noir, les tremblements de terre en Amérique latine et en
Afrique, le Kurdistan, l'Irlande du Nord, la chute de Saïgon, les boat-people
en Mer de Chine, Beyrouth, l'Afghanistan, la Somalie, récemment le Rwanda
massacré. Des millions de morts. Pour que tout cela trouve un écho, Bernard
Kouchner prend souvent la parole. Très souvent. Devenir ministre de l'Action
humanitaire et de la Santé donne plus de portée à sa voix. Ainsi peut naître
son "droit d'ingérence", consacré par l'ONU. Dès la première phrase, Bernard
Kouchner donne le ton : "Je crois qu'il faut s'attendre au pire : c'est la
meilleure façon de rester optimiste...".
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