- EAN13
- 9782373630916
- Éditeur
- Bibliothèque malgache
- Date de publication
- 2023
- Collection
- Bibliothèque belgicaine
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782373630916
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2.99
L’Éthiopie est le cadre d’un récit de voyage qu’André Ruyters publie dans la
N. R. F. et que nous reproduisons ici. La première partie (octobre 1911)
s’intitule simplement « Addis-Abeba », les deux suivantes (décembre 1911 et
mai 1912) prennent le titre que nous avons choisi pour cette édition. Il est
trompeur puisque la destination n’est pas atteinte dans les pages publiées,
alors que le voyage se poursuivit bien jusqu’à Djibouti, d’où il comptait
embarquer le 3 mai pour arriver à Marseille le 14 – il donne ces dates à André
Gide sur une carte postale envoyée d’Addis-Abeba le 8 avril.
La caravane, tant bien que mal, se met en marche et André Ruyters raconte les
paysages, les hommes et les femmes, les coups de fusil, les bonnes et les
mauvaises rencontres... C’est vif, non exempt des préjugés de l’époque. Les
traits de femmes croisées au retour de leur corvée d’eau sont épaissis par «
le sang impur du nègre ». Dans la facture de cases grossières, « on sent la
main du nègre ». N’en jetez plus...
N. R. F. et que nous reproduisons ici. La première partie (octobre 1911)
s’intitule simplement « Addis-Abeba », les deux suivantes (décembre 1911 et
mai 1912) prennent le titre que nous avons choisi pour cette édition. Il est
trompeur puisque la destination n’est pas atteinte dans les pages publiées,
alors que le voyage se poursuivit bien jusqu’à Djibouti, d’où il comptait
embarquer le 3 mai pour arriver à Marseille le 14 – il donne ces dates à André
Gide sur une carte postale envoyée d’Addis-Abeba le 8 avril.
La caravane, tant bien que mal, se met en marche et André Ruyters raconte les
paysages, les hommes et les femmes, les coups de fusil, les bonnes et les
mauvaises rencontres... C’est vif, non exempt des préjugés de l’époque. Les
traits de femmes croisées au retour de leur corvée d’eau sont épaissis par «
le sang impur du nègre ». Dans la facture de cases grossières, « on sent la
main du nègre ». N’en jetez plus...
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