Les Facultés de droit de province au XIXe siècle. Tome 1, Bilan et perspectives de la recherche
EAN13
9782379280825
Éditeur
Presses de l’Université Toulouse Capitole
Date de publication
Collection
Études d’histoire du droit et des idées politiques
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Les Facultés de droit de province au XIXe siècle. Tome 1

Bilan et perspectives de la recherche

Presses de l’Université Toulouse Capitole

Études d’histoire du droit et des idées politiques

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L’occasion d’un colloque sur l’histoire des Facultés de droit de province au
xixe siècle a été founie par le bicentenaire du décret du 17 mars 1808 qui a
redonné aux Ecoles de droit le titre de Facultés qu’elles ont conservé de
manière discontinue jusqu’à nos jours. Afin de délimiter le sujet, il a été
décidé de se consacrer d’abord au xixe siècle (lato sensu) et aux Facultés de
droit de province (même s’il ne faut pas ignorer les interactions avec celle
de Paris). Ainsi se trouvaient directement concernées les Facultés de droit
napoléoniennes : Aix - Caen - Dijon - Grenoble - Poitiers - Rennes -Strasbourg
et Toulouse et celles créées ultérieurement à partir de la fin du Second
Empire (Nancy - Douai) et du début de la IIIe République : Bordeaux - Lyon -
Montpellier - Lille sans oublier le cas particulier d’Alger. Il est vrai que
l’historiographie des Facultés de droit est restée trop longtemps le parent
pauvre de la recherche sur l’enseignement supérieur français. Fort
heureusement, l’on assiste depuis quelques années à un regain d’intérêt pour
ces sujets. Le temps est venu, semble-t-il, de coordonner et de fédérer la
recherche menée sur l’histoire des Facultés de droit et ce livre issu du
colloque de 2008 y contribue. Les historiens du droit ne revendiquent aucun
monopole en ce domaine et tous les talents sont les bienvenus comme on a
essayé de le montrer dans l’élaboration même de cet ouvrage mais ils doivent
résolument et collectivement se situer en première ligne sur ce chantier de
recherche. Pour cela, ils doivent mieux se connaître, confronter leurs points
de vue, se retrouver régulièrement, se soutenir davantage, intégrer aussi les
jeunes chercheurs à cette recherche au long cours qui permettra, en
connaissant mieux notre passé de mieux aborder les grands défis que connaît
aujourd’hui l’Université française.
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