- EAN13
- 9782380942767
- Éditeur
- Nouveau Monde éditions
- Date de publication
- 16/02/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782380942767
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
12.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
C’est par une affaire impliquant la police que Yassine Bouzrou entame sa
carrière en solo en 2007. L’occasion de se frotter directement aux mensonges,
aux petits arrangements entre administration, pouvoir et palais de justice, et
aux journalistes. Mais aussi de jauger la force de frappe de l’avocat. Son
deuxième dossier lui est apportée par un futur cinéaste, Ladj Ly, qui lui
signale la fameuse bavure de Montfermeil (2008) qui servira de ferment au film
Les Misérables. Il fera condamner les policiers. Plus récemment, en plein
mouvement des Gilets jaunes, il se voit confier un cas emblématique : celui
de Zineb Redouane, une femme de 80 ans décédée après avoir été atteinte au
visage, à la fenêtre de son appartement, par une grenade lacrymogène, à
Marseille. La contre-enquête a mis en cause les CRS.
Fils de berbères du Maroc ayant quitté Tiznit dans les années 60, Yassine
Bouzrou a grandi dans un quartier populaire de Courbevoie, entre un père
chauffeur-livreur et une mère garde-malades. Il aurait voulu devenir
footballeur, il est entré à 29 ans dans le classement GQ des avocats « les
trente plus puissants » de France. Sans changer de ligne : avocats de
plusieurs victimes de violences policières durant le mouvement des Gilets
jaunes, il défend la famille d’Adama Traore avec la même détermination.
« Je finis toujours le travail pour lequel on me paie. » C’est sa citation
préférée, tirée du film Le Bon, la Brute et le Truand. L’avocat connaît des
tas de répliques, picorées dans L’Impasse ou Le Parrain.
Constitué de récits inédits et authentiques, ce livre est un plaidoyer pour
les libertés, signé par un digne héritier de Robert Badinter et Henri Leclerc.
Yassine Bouzrou, 42 ans, est avocat pénaliste. Il plaide dans de nombreux
procès médiatiques, notamment concernant des affaires criminelles,
d'accusations de violences policières et d'atteinte à la vie privée.
carrière en solo en 2007. L’occasion de se frotter directement aux mensonges,
aux petits arrangements entre administration, pouvoir et palais de justice, et
aux journalistes. Mais aussi de jauger la force de frappe de l’avocat. Son
deuxième dossier lui est apportée par un futur cinéaste, Ladj Ly, qui lui
signale la fameuse bavure de Montfermeil (2008) qui servira de ferment au film
Les Misérables. Il fera condamner les policiers. Plus récemment, en plein
mouvement des Gilets jaunes, il se voit confier un cas emblématique : celui
de Zineb Redouane, une femme de 80 ans décédée après avoir été atteinte au
visage, à la fenêtre de son appartement, par une grenade lacrymogène, à
Marseille. La contre-enquête a mis en cause les CRS.
Fils de berbères du Maroc ayant quitté Tiznit dans les années 60, Yassine
Bouzrou a grandi dans un quartier populaire de Courbevoie, entre un père
chauffeur-livreur et une mère garde-malades. Il aurait voulu devenir
footballeur, il est entré à 29 ans dans le classement GQ des avocats « les
trente plus puissants » de France. Sans changer de ligne : avocats de
plusieurs victimes de violences policières durant le mouvement des Gilets
jaunes, il défend la famille d’Adama Traore avec la même détermination.
« Je finis toujours le travail pour lequel on me paie. » C’est sa citation
préférée, tirée du film Le Bon, la Brute et le Truand. L’avocat connaît des
tas de répliques, picorées dans L’Impasse ou Le Parrain.
Constitué de récits inédits et authentiques, ce livre est un plaidoyer pour
les libertés, signé par un digne héritier de Robert Badinter et Henri Leclerc.
Yassine Bouzrou, 42 ans, est avocat pénaliste. Il plaide dans de nombreux
procès médiatiques, notamment concernant des affaires criminelles,
d'accusations de violences policières et d'atteinte à la vie privée.
S'identifier pour envoyer des commentaires.