- EAN13
- 9782382840894
- Éditeur
- Éditions des Équateurs
- Date de publication
- 24/11/2005
- Collection
- Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782382840887
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Papier - Équateurs 19,00
«Vous demandez de quel Maigret il s’agit ? Je parle du vrai, bien entendu. Ou
plutôt du faux, puisqu’il ne s’appelle pas Maigret, mais Guillaume. Ou plutôt
non, j’avais raison, il s’agit bien du vrai, puisque c’est lui Maigret. »
Georges Simenon, 1937. Dernier grand représentant des flics de la « vieille
école », Marcel Guillaume inspira à Georges Simenon le personnage du
commissaire Maigret. Dans ce document exceptionnel, publié en feuilleton dans
le grand quotidien Paris-Soir en 1937, il raconte sa traque de la bande à
Bonnot, les crimes passionnels et crapuleux de son temps, sonde l’âme
mystérieuse de Landru, confesse Violette Nozières et dévoile les secrets de
l’affaire Stavisky. Le commissaire Guillaume n’hésite pas à faire part de ses
états d’âme, doutes et convictions. Il invite le lecteur à participer à ses
enquêtes et apporte un soin particulier à décrire l’ambiance des
interrogatoires dans son bureau du 36, quai des Orfèvres. Une atmosphère digne
des meilleurs Maigret !
plutôt du faux, puisqu’il ne s’appelle pas Maigret, mais Guillaume. Ou plutôt
non, j’avais raison, il s’agit bien du vrai, puisque c’est lui Maigret. »
Georges Simenon, 1937. Dernier grand représentant des flics de la « vieille
école », Marcel Guillaume inspira à Georges Simenon le personnage du
commissaire Maigret. Dans ce document exceptionnel, publié en feuilleton dans
le grand quotidien Paris-Soir en 1937, il raconte sa traque de la bande à
Bonnot, les crimes passionnels et crapuleux de son temps, sonde l’âme
mystérieuse de Landru, confesse Violette Nozières et dévoile les secrets de
l’affaire Stavisky. Le commissaire Guillaume n’hésite pas à faire part de ses
états d’âme, doutes et convictions. Il invite le lecteur à participer à ses
enquêtes et apporte un soin particulier à décrire l’ambiance des
interrogatoires dans son bureau du 36, quai des Orfèvres. Une atmosphère digne
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