- EAN13
- 9782706210983
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Fayard)
- Date de publication
- 1958
- Collection
- Les trois A...
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Si, dans la petite ville de Port-Saint-Marc, un joyeux enterrement et une
funèbre noce s’affrontent non sans haine, c’est qu’un crime a été commis. La
victime était particulièrement antipathique, mais il faut néanmoins que
justice soit faite. Le commissaire Lecuir s’attelle à cette tâche, d’autant
plus ingrate, que le principal suspect est fort sympathique ; que la
population au grand complet, jusques et y compris le policier, - le défend
avec acharnement ; qu’il est peu d’habitants, à Port-Saint-Marc, qui n’aient
eu des raisons impérieuses, aussi bien que la possibilité et les moyens de
supprimer une vermine gênante pour chacun. Lecuir se heurte à la solidarité
des Oursseloups, qui se tiennent farouchement les coudes, sous la férule de
leur capitaine, Bonthommas. Il voudrait savoir pourquoi le charpentier Bézu
n’avait pas vissé certain cercueil ; comment il se fait que le corps sans vie
de Falize a disparu, pour reparaître ensuite. Le lieutenant de marine Pourret
a presque avoué le crime... mais va-t-on si loin lorsqu’on est sur le point de
gagner la délicieuse Micheline ? Lecuir ne résoud le mystère qu’en arrivant à
cette double conclusion ahurissante : a) que les empreintes d’un homme sur
l’arme du crime prouvent justement que celui-ci n’est pas le meurtrier, car ;
b) le fait qu’il ait été présent à l’heure du crime, prouve justement qu’il ne
l’a pas commis. Comme on le voit, C.Q.F.D. !
funèbre noce s’affrontent non sans haine, c’est qu’un crime a été commis. La
victime était particulièrement antipathique, mais il faut néanmoins que
justice soit faite. Le commissaire Lecuir s’attelle à cette tâche, d’autant
plus ingrate, que le principal suspect est fort sympathique ; que la
population au grand complet, jusques et y compris le policier, - le défend
avec acharnement ; qu’il est peu d’habitants, à Port-Saint-Marc, qui n’aient
eu des raisons impérieuses, aussi bien que la possibilité et les moyens de
supprimer une vermine gênante pour chacun. Lecuir se heurte à la solidarité
des Oursseloups, qui se tiennent farouchement les coudes, sous la férule de
leur capitaine, Bonthommas. Il voudrait savoir pourquoi le charpentier Bézu
n’avait pas vissé certain cercueil ; comment il se fait que le corps sans vie
de Falize a disparu, pour reparaître ensuite. Le lieutenant de marine Pourret
a presque avoué le crime... mais va-t-on si loin lorsqu’on est sur le point de
gagner la délicieuse Micheline ? Lecuir ne résoud le mystère qu’en arrivant à
cette double conclusion ahurissante : a) que les empreintes d’un homme sur
l’arme du crime prouvent justement que celui-ci n’est pas le meurtrier, car ;
b) le fait qu’il ait été présent à l’heure du crime, prouve justement qu’il ne
l’a pas commis. Comme on le voit, C.Q.F.D. !
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