- EAN13
- 9782707333575
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Les éditions de minuit)
- Date de publication
- 1965
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'affaire Oswald : réponse au rapport Warren
Léo Sauvage
FeniXX réédition numérique (Les éditions de minuit)
Livre numérique
Léo Sauvage a fait ses débuts dans le journalisme à l'âge de dix-neuf ans,
tout en préparant une licence en droit à Paris. Critique dramatique du Peuple
en 1939, il fonda, durant la guerre, à Marseille, une troupe de théâtre, les
Compagnons de la Basoche, interdite en 1942, puis édita des journaux
clandestins dans le centre de la France. Au lendemain de la guerre, il entra à
Franc-Tireur, et fit reparaître, en 1946-1947, La Rue de Jules Vallès. Léo
Sauvage vit aujourd'hui à New York, où il est, depuis près de quinze ans, le
correspondant du Figaro. Il résume, dans sa préface à L'Affaire Oswald, les
raisons qui l'ont amené à publier ce livre : Jusqu'à la publication du rapport
Warren, il y avait l'irrésistible réaction contre l'outrecuidance de ceux qui
ne cessaient de proclamer que l'accusé assassiné était coupable, mais
prétendaient que ceux qui doutaient de cette culpabilité devaient s'astreindre
au silence. Depuis la publication du rapport Warren, il y a quelque chose de
plus irrésistible encore : le sentiment que le silence, dans cette affaire,
constituerait un acquiescement à l'injustice.
tout en préparant une licence en droit à Paris. Critique dramatique du Peuple
en 1939, il fonda, durant la guerre, à Marseille, une troupe de théâtre, les
Compagnons de la Basoche, interdite en 1942, puis édita des journaux
clandestins dans le centre de la France. Au lendemain de la guerre, il entra à
Franc-Tireur, et fit reparaître, en 1946-1947, La Rue de Jules Vallès. Léo
Sauvage vit aujourd'hui à New York, où il est, depuis près de quinze ans, le
correspondant du Figaro. Il résume, dans sa préface à L'Affaire Oswald, les
raisons qui l'ont amené à publier ce livre : Jusqu'à la publication du rapport
Warren, il y avait l'irrésistible réaction contre l'outrecuidance de ceux qui
ne cessaient de proclamer que l'accusé assassiné était coupable, mais
prétendaient que ceux qui doutaient de cette culpabilité devaient s'astreindre
au silence. Depuis la publication du rapport Warren, il y a quelque chose de
plus irrésistible encore : le sentiment que le silence, dans cette affaire,
constituerait un acquiescement à l'injustice.
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