- EAN13
- 9782709643351
- Éditeur
- Jean-Claude Lattès
- Date de publication
- 19/03/2008
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782709643351
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Un an après avoir reçu le prix Nobel de la paix, Muhammad Yunus présente sa
vision d’un nouveau modèle économique associant le libre fonctionnement du
marché à la recherche d’un monde plus humain. La domination sans partage
exercée par le libéralisme économique depuis deux décennies a certes autorisé
un accroissement significatif du bien-être d’une large partie de la population
mondiale. Mais la recherche exclusive du profit placée à sa racine ne lui
permet pas d’apporter de solution au creusement des inégalités et à la
persistance de la pauvreté.
S’appuyant sur le succès de la « révolution du microcrédit » qu’il initia au
Bangladesh voilà trente ans en créant la Grameen Bank, le
« banquier des pauvres » propose de créer des entreprises d’un type nouveau.
Financées par des investisseurs qui renonceraient explicitement à toutes
formes de profits, ces « entreprises à vocation sociale » fourniraient aux
populations des biens et des services à des prix inférieurs à ceux pratiqués
par les entreprises mues par la recherche de bénéfices. En agissant de la
sorte, elles contribueraient à faire reculer la pauvreté. Au fil des nombreux
exemples d’entreprises à vocation sociale qu’il évoque – en particulier son
association avec Danone – Muhammad Yunus montre que ce nouveau modèle
économique peut être appliqué dans le monde entier. En poursuivant l’œuvre
entamée au moyen de la diffusion du microcrédit, l’auteur espère continuer à
placer les talents qui sommeillent en chaque individu au service d’un objectif
: l’éradication de la pauvreté.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Béatrice Merle d'Aubigné et Annick Steta
vision d’un nouveau modèle économique associant le libre fonctionnement du
marché à la recherche d’un monde plus humain. La domination sans partage
exercée par le libéralisme économique depuis deux décennies a certes autorisé
un accroissement significatif du bien-être d’une large partie de la population
mondiale. Mais la recherche exclusive du profit placée à sa racine ne lui
permet pas d’apporter de solution au creusement des inégalités et à la
persistance de la pauvreté.
S’appuyant sur le succès de la « révolution du microcrédit » qu’il initia au
Bangladesh voilà trente ans en créant la Grameen Bank, le
« banquier des pauvres » propose de créer des entreprises d’un type nouveau.
Financées par des investisseurs qui renonceraient explicitement à toutes
formes de profits, ces « entreprises à vocation sociale » fourniraient aux
populations des biens et des services à des prix inférieurs à ceux pratiqués
par les entreprises mues par la recherche de bénéfices. En agissant de la
sorte, elles contribueraient à faire reculer la pauvreté. Au fil des nombreux
exemples d’entreprises à vocation sociale qu’il évoque – en particulier son
association avec Danone – Muhammad Yunus montre que ce nouveau modèle
économique peut être appliqué dans le monde entier. En poursuivant l’œuvre
entamée au moyen de la diffusion du microcrédit, l’auteur espère continuer à
placer les talents qui sommeillent en chaque individu au service d’un objectif
: l’éradication de la pauvreté.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Béatrice Merle d'Aubigné et Annick Steta
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