- EAN13
- 9782714490544
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Belfond)
- Date de publication
- 1981
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Encore un effort et nous aurons définitivement perdu la troisième guerre mondiale
Robert Close, Nicolas de Kerchove
FeniXX réédition numérique (Belfond)
Livre numérique
Il y a deux façons de perdre une guerre : la première est de succomber, les
armes à la main. La seconde est de succomber, avant même d’avoir été en état
de se défendre. En ce qui concerne l’Europe occidentale — une Europe
balkanisée, incapable de prendre les mesures qui s’imposent face à la
formidable puissance de l’Union soviétique —, l’histoire de sa défaite et de
son anéantissement à venir est déjà écrite, à moins d’un ultime sursaut. Au
rythme actuel, le rapport des forces sera bientôt de 1 à 4 en faveur de l’URSS
pour les armes nucléaires. Mais le déséquilibre est déjà de 1 à 3 en faveur de
l’Union soviétique, pour les armes conventionnelles. En cas d’attaque
surprise, les forces de l’OTAN ne pourraient pas résister plus de 10 heures.
En moins de 48 heures, les tanks soviétiques occuperaient les bords du Rhin...
Pour beaucoup, ce livre sonnera comme le tocsin. Mais si on n’entend pas
l’appel du général Close, il sonnera comme un glas.
armes à la main. La seconde est de succomber, avant même d’avoir été en état
de se défendre. En ce qui concerne l’Europe occidentale — une Europe
balkanisée, incapable de prendre les mesures qui s’imposent face à la
formidable puissance de l’Union soviétique —, l’histoire de sa défaite et de
son anéantissement à venir est déjà écrite, à moins d’un ultime sursaut. Au
rythme actuel, le rapport des forces sera bientôt de 1 à 4 en faveur de l’URSS
pour les armes nucléaires. Mais le déséquilibre est déjà de 1 à 3 en faveur de
l’Union soviétique, pour les armes conventionnelles. En cas d’attaque
surprise, les forces de l’OTAN ne pourraient pas résister plus de 10 heures.
En moins de 48 heures, les tanks soviétiques occuperaient les bords du Rhin...
Pour beaucoup, ce livre sonnera comme le tocsin. Mais si on n’entend pas
l’appel du général Close, il sonnera comme un glas.
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