- EAN13
- 9791024000640
- Éditeur
- Presses universitaires de Rouen et du Havre
- Date de publication
- 16/10/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Mauvaises langues !
Florence Cabaret, Nathalie Vienne-Guerrin
Presses universitaires de Rouen et du Havre
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791024000640
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17.99
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Ce volume est consacré à la mauvaise langue, c'est-à-dire à l’idiome
linguistique irrégulier ou incorrect mais aussi à la « malebouche » qui
blesse, insulte, blasphème, invective, est instrument de commérage ou de
bavardage.
En s’intéressant aux mauvaises langues, cet ouvrage montre combien les
recherches des philosophes du langage, sociolinguistes, traductologues,
historiens et stylisticiens font évoluer nos conceptions de la langue, au
point de nous faire préférer à la bonne norme ses variations souvent
condamnées et jugées indignes d’être étudiées.
Objet tout à la fois de fascination et de répulsion, la mauvaise langue semble
résister à toute tentative de contrôle.
Des péchés de la langue catalogués par la culture médiévale à la mauvaise
langue proscrite par l’école française de Montréal, du « flux de caquet »
décrit par Montaigne à l’insulte syndicale contemporaine, de la polémique
classique aux pamphlets de la guerre civile anglaise, une diversité de
situations d’énonciation et de contextes sociohistoriques sont envisagés ici,
qui nous permettent de mesurer à quel point dire et fer sont intimement liés.
linguistique irrégulier ou incorrect mais aussi à la « malebouche » qui
blesse, insulte, blasphème, invective, est instrument de commérage ou de
bavardage.
En s’intéressant aux mauvaises langues, cet ouvrage montre combien les
recherches des philosophes du langage, sociolinguistes, traductologues,
historiens et stylisticiens font évoluer nos conceptions de la langue, au
point de nous faire préférer à la bonne norme ses variations souvent
condamnées et jugées indignes d’être étudiées.
Objet tout à la fois de fascination et de répulsion, la mauvaise langue semble
résister à toute tentative de contrôle.
Des péchés de la langue catalogués par la culture médiévale à la mauvaise
langue proscrite par l’école française de Montréal, du « flux de caquet »
décrit par Montaigne à l’insulte syndicale contemporaine, de la polémique
classique aux pamphlets de la guerre civile anglaise, une diversité de
situations d’énonciation et de contextes sociohistoriques sont envisagés ici,
qui nous permettent de mesurer à quel point dire et fer sont intimement liés.
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