- EAN13
- 9782374801131
- ISBN
- 978-2-37480-113-1
- Éditeur
- Les trois colonnes
- Date de publication
- 2019
- Collection
- TRC.3 COLONNES
- Poids
- 237 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Cinq destins se croisent à Brest l’été 1992, lors de la grande fête des voiliers. Des exilés de la vie qui cultivent avec jubilation des différences qui, loin de les opposer, vont semble-t-il les rapprocher et leur donner l’envie de se revoir.
C’est une réflexion sur les mécanismes de la mémoire ou plutôt de mémoires à multiples facettes aptes à ricocher avec leur lot de surprises, comme si dans le déroulement du souvenir la temporalité impliquée n’était pas de nature chronologique, comme si des strates une fois soulevées donnaient directement accès à un événement, comme si ce dernier était en train de se produire alors qu’il pouvait remonter à la nuit des temps.
C’est aussi la perception d’un temps extensible ou compressible selon les circonstances et les sensibilités. N’y a-t-il pas le temps vécu, le temps rêvé, le temps occulté, le temps réinventé apte à faire d’une année une simple semaine ou d’une minute une éternité.
C’est enfin l’analyse de sentiments ou de passions, de représentation objective ou subjective du réel sous forme d’exposés, de dialogues, de monologues ou encore de rêveries, de réminiscences, d’association d’idées à la faveur de retours sur soi, d’un perpétuel balancement entre le passé et le présent. Le reste n’est qu’imagination ou vestiges d’une ancienne et oublieuse mémoire.
Grammairienne et linguiste de formation, Maryvonne Lebeau obtient une maîtrise d’enseignement avant d’entreprendre une carrière au Rectorat de Versailles puis à la Faculté de Pharmacie de Paris. Plusieurs fois membre du jury du roman francophone à la Médiathèque d’Issy-les-Moulineaux, elle a enseigné pendant plusieurs années le Français langue étrangère. Brest en filigrane est son 4e roman.
C’est une réflexion sur les mécanismes de la mémoire ou plutôt de mémoires à multiples facettes aptes à ricocher avec leur lot de surprises, comme si dans le déroulement du souvenir la temporalité impliquée n’était pas de nature chronologique, comme si des strates une fois soulevées donnaient directement accès à un événement, comme si ce dernier était en train de se produire alors qu’il pouvait remonter à la nuit des temps.
C’est aussi la perception d’un temps extensible ou compressible selon les circonstances et les sensibilités. N’y a-t-il pas le temps vécu, le temps rêvé, le temps occulté, le temps réinventé apte à faire d’une année une simple semaine ou d’une minute une éternité.
C’est enfin l’analyse de sentiments ou de passions, de représentation objective ou subjective du réel sous forme d’exposés, de dialogues, de monologues ou encore de rêveries, de réminiscences, d’association d’idées à la faveur de retours sur soi, d’un perpétuel balancement entre le passé et le présent. Le reste n’est qu’imagination ou vestiges d’une ancienne et oublieuse mémoire.
Grammairienne et linguiste de formation, Maryvonne Lebeau obtient une maîtrise d’enseignement avant d’entreprendre une carrière au Rectorat de Versailles puis à la Faculté de Pharmacie de Paris. Plusieurs fois membre du jury du roman francophone à la Médiathèque d’Issy-les-Moulineaux, elle a enseigné pendant plusieurs années le Français langue étrangère. Brest en filigrane est son 4e roman.
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