- Éditeur
- Librinova
- Date de publication
- 09/07/2020
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
- AideEAN13 : 9791026259930
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
5.99
Homi Jehangir Bhabha était le grand responsable de l'énergie nucléaire en
Inde. En 1955, il préside la première conférence internationale sur l'énergie
atomique, et déjà, sous couvert de maintien de la paix, montre son intérêt
pour la course mondiale à l'arme nucléaire. Il pense que cette force de
dissuasion lui permettrait de tenir en respect les deux grands adversaires de
l'Inde, la Chine et le Pakistan. Et il n'aura de cesse de travailler
secrètement à la conception de la bombe indienne. Cela se sait dans le milieu
du renseignement et désigne le physicien comme cible d'actions d'intimidation
ou pire, d'élimination. Au bout de dix ans passés à batailler pour réduire le
pouvoir de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Bhabha périt
sur le Mont-Blanc avec 116 autres personnes, dans le Boeing 707 qui l'emmène
vers Vienne, siège de l'AIEA. Pour beaucoup, la catastrophe est le résultat
d'un complot pour éliminer Bhabha, enfoncer le couteau dans la plaie indienne,
après la mort suspecte, quelques jours plus tôt à Tashkent, du Premier
ministre Shastri. L'espérance renaît pourtant d'une extraordinaire découverte
par un jeune de Chamonix...
Inde. En 1955, il préside la première conférence internationale sur l'énergie
atomique, et déjà, sous couvert de maintien de la paix, montre son intérêt
pour la course mondiale à l'arme nucléaire. Il pense que cette force de
dissuasion lui permettrait de tenir en respect les deux grands adversaires de
l'Inde, la Chine et le Pakistan. Et il n'aura de cesse de travailler
secrètement à la conception de la bombe indienne. Cela se sait dans le milieu
du renseignement et désigne le physicien comme cible d'actions d'intimidation
ou pire, d'élimination. Au bout de dix ans passés à batailler pour réduire le
pouvoir de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Bhabha périt
sur le Mont-Blanc avec 116 autres personnes, dans le Boeing 707 qui l'emmène
vers Vienne, siège de l'AIEA. Pour beaucoup, la catastrophe est le résultat
d'un complot pour éliminer Bhabha, enfoncer le couteau dans la plaie indienne,
après la mort suspecte, quelques jours plus tôt à Tashkent, du Premier
ministre Shastri. L'espérance renaît pourtant d'une extraordinaire découverte
par un jeune de Chamonix...
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