LA ROUTE HANNIBAL, À travers la Gaule allobrige et les Alpes du col des PANISSARS au col d'AGNEL
EAN13
9782382900000
ISBN
978-2-38290-000-0
Éditeur
ILION EDITIONS
Date de publication
Collection
ILI.LITTERATURE
Nombre de pages
170
Dimensions
28 x 21,6 x 1,2 cm
Poids
552 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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La Route Hannibal

À travers la Gaule allobrige et les Alpes du col des PANISSARS au col d'AGNEL

De

Ilion Editions

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La Route Hannibal, abondamment illustrée et argumentée, apporte une résolution péremptoire à une énigme sujette à controverses depuis plus de 22 siècles et qu’un éminent historien contemporain tenait comme insoluble.
En remettant La Route Hannibal sur le droit chemin de l’antique voie d’Héraklès dans son environnement paléogéographique, archéologique et ethnologique du IIIe siècle avant JC.
Il est avéré que l’illustre général carthaginois avait, au préalable, voué son entreprise à son protecteur Héraklès, dénommé Melqart en Phénicien, et fait le choix stratégique de suivre ses traces sur la voie légendaire qu’il avait ouverte pour ramener d’Erythie, à savoir Gibraltar, jusqu’en Italie, le troupeau de bœufs dérobé à Géryon, le géant aux trois corps.
Or, cette voie franchissait les Alpes par le col du Montgenèvre.
C’est par ce col que les Celtes allobriges —  à savoir transalpins  — se rendaient alors couramment en Cisalpine. Des concertations avaient été menées au préalable avec les Celtes cisalpins afin de s’assurer leur collaboration dans la planification en bonne et due forme de cette plus importante expédition militaire depuis celle d’Alexandre, 116 ans auparavant et leur guidage suivant cette voie.
Toutefois il est prouvé qu’en définitive, Hannibal ne soit jamais passé par ce col. Ce que confirme Pompée lui-même. De précédents auteurs notoires ont déjà démontré que l’armée punique a été détournée par la population locale dans les gorges du Guil vers des nasses et des culs-de-sac, dans la seule intention de la piller.
Pour se sortir de ce piège, les soldats carthaginois, « après s’être heurtés à des endroits impraticables  » —  comme l’évoque précisément Tite-Live  — ont été finalement acculés vers la seule issue de secours praticable pour une armée, obligée, inéluctable et évidente qui se présentait dans ce secteur: celle du col d’Agnel. La plaque d’ores et déjà apposée sur «  le Rocher d’Hannibal  » après Molines-en-Queyras, vient témoigner d’ailleurs que cette thèse n’est pas inédite.
Ainsi, parmi tous les grands itinéraires historiques, la «  route Hannibal  » doit désormais figurer sur les cartes touristiques au même titre que la «Voie Domitienne » et la « Route Napoléon ».
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