EAN13
9782847111354
ISBN
978-2-84711-135-4
Éditeur
Palais de Tokyo
Date de publication
Nombre de pages
216
Dimensions
28,5 x 22,5 cm
Poids
765 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Palais n° 32

Palais de Tokyo

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Au sein d'espaces de conflits, passés et présents, ils et elles réclament l'égalité et l'échange comme principes vitaux. Ces imaginaires artistiques sont ancrés dans un monde qui n'a définitivement plus de centre, et multiplient les pôles magnétiques. Cette fragmentation pourtant n'occulte pas l'histoire, car, accompagnant les diasporas et les créolisations, les récits de libération et d'émancipation tout comme ceux de l'histoire violente des spoliations et des corps déplacés se font jour de manière de plus en plus lucide et audible. Au-delà de leur poésie singulière, ces artistes portent et partagent des imaginaires non plus nationaux mais bien continentaux, dont le déplacement tectonique est irréversible.Au sommaire de ce numéro : dossier en lien avec l'exposition Ubuntu, un rêve lucide, avec les artistes Jonathas de Andrade, Joël Andrianomearisoa, Michael Armitage, Bili Bidjocka, Kudzanai Chiurai (en collaboration avec Khanya Mashabela et avec la participation de Kenzhero), Nolan Oswald Dennis, Lungiswa Gqunta, Frances Goodman, Kudzanai-Violet Hwami, Richard Kennedy, Grada Kilomba, Turiya Magadlela, Ibrahim Mahama, Sabelo Mlangeni, Meleko Mokgosi, Serge Alain Nitegeka, Daniel Otero Torres ; textes de Bernard Akoi-Jackson, Souleymane Bachir Diagne, Thulile Gamedze, Grada Kilomba, Nadia Yala Kisukidi, Khanya Mashabela, Tracy Naa Koshie Thompson, Marie-Ann Yemsi ; ainsi qu'une conversation entre Michael Armitage et Meleko Mokgosi, et une sélection de poésie conçue par Bonaventure Soh Bejeng Ndikung (avec les poèmes de Ama Ata Aidoo, Viola Allo, James Baldwin, Kwame Dawes, Birago Diop, Tsitsi Jaji, Keorapetse Kgositsile, Olu Oguibe, Warsan Shire, Derek Walcott).Et également des essais de Cédric Fauq et François Piron sur l'œuvre de la cinéaste Sarah Maldoror, Elvan Zabunyan sur le travail de Jay Ramier, Marcelo Campos sur le projet de Maxwell Alexandre, et Lucille Toth sur celui d'Aïda Bruyère.
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