- EAN13
- 9782360131563
- ISBN
- 978-2-36013-156-3
- Éditeur
- Riveneuve éditions
- Date de publication
- 18/04/2013
- Collection
- LITT VIET CONTE
- Nombre de pages
- 230
- Dimensions
- 20,1 x 12,2 x 2 cm
- Poids
- 239 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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une opportunité pour Dieu
De Nguyen Viet Ha
Traduit par Cam Thi Doan
Riveneuve éditions
Litt Viet Conte
A travers leurs journaux intimes, quatre personnages principaux occupent tour à tour la scène du roman. S'ils prennent tout à coeur, que ce soit l'amour ou les affaires, c'est dans les mots qu'ils vivent avec le plus de passion. Roman du désenchantement d'un auteur qui, à tout juste 50 ans, entraîne toute une nouvelle génération d'écrivains vietnamiens.
Nguyen Viet Ha, à tout juste 50 ans, domine la scène littéraire dès ce premier roman paru en 1999, Une opportunité pour Dieu. Il entraine toute une nouvelle génération d'écrivains vietnamiens. Dans ce roman, a travers leurs journaux intimes, quatre personnages principaux occupent tour à tour la scène du roman. S'ils prennent tout à coeur, que ce soit l'amour ou les affaires, c'est dans les mots qu'ils vivent avec le plus de passion.
De Hanoi à Saigon, en passant par Haiphong, Huê, Berlin, Dresde, Varsovie et Prague, ces jeunes vietnamiens sont confrontés à une impasse tant matérielle que morale. Ils se réfugient dans l'exil, l'argent, l'alcool ou la mort. La foi, au cœur de la littérature officielle avec le marxisme-léninisme et la lutte contre les Etats-Unis, a fait place ici à l'absence d'idéal dans la jeunesse de l'après-guerre. Vingt-cinq ans après la fin des combats, le Vietnam est aussi "pauvre en héros qu'en événements', selon l'expression de Marx.
Nguyen Viet Ha, à tout juste 50 ans, domine la scène littéraire dès ce premier roman paru en 1999, Une opportunité pour Dieu. Il entraine toute une nouvelle génération d'écrivains vietnamiens. Dans ce roman, a travers leurs journaux intimes, quatre personnages principaux occupent tour à tour la scène du roman. S'ils prennent tout à coeur, que ce soit l'amour ou les affaires, c'est dans les mots qu'ils vivent avec le plus de passion.
De Hanoi à Saigon, en passant par Haiphong, Huê, Berlin, Dresde, Varsovie et Prague, ces jeunes vietnamiens sont confrontés à une impasse tant matérielle que morale. Ils se réfugient dans l'exil, l'argent, l'alcool ou la mort. La foi, au cœur de la littérature officielle avec le marxisme-léninisme et la lutte contre les Etats-Unis, a fait place ici à l'absence d'idéal dans la jeunesse de l'après-guerre. Vingt-cinq ans après la fin des combats, le Vietnam est aussi "pauvre en héros qu'en événements', selon l'expression de Marx.
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