Sur le prélude de lohengrin

« Une tache, ou plutôt deux. À vrai dire la même, dans les deux yeux,
comme si dans une palette de teintes chocolat le peintre avait laissé échapper une larme, une toute petite larme.

J’ai trébuché dans l'immensité de tes iris, me raccrochant sans cesse à cet intriguant point d’orgue...
Tu m’as inspiré des rêves, des mots, puis des phrases entières, que j’ai réunis dans cette nouvelle.

Une tache, ou plutôt deux. À vrai dire la même, dans les deux yeux. »