Cabras, 1985. Maurizio passe ses vacances chez ses grands-parents. Dans leur petit village sarde, il va y decouvrir l'amitiéet bien plus encore.
La religion a une place importante dans le couer de ces villageois si soudés, jusqu'à l'arrivée d'une deuxième paroisse.
Nous allons assister à une guerre de clocher où les enfants tiendront un role important.
Une très belle immersion une fois de plus.

Salvador, 1960, en pleine guerre civile.
La terreur, la peur,la torture, la souffrance règnent. Tot le monde peut disparaitre à n'importe quel moment.
C'est dans ce climat de violence qu'Horacio Moya Castellanos va nous mener.
Un texte fort qui ne laisse aucune place à la compassion.

Une fois de plus, nous sommes emportés par l'écriture de Zafon et c'est avec plaisir que l'on retrouve les personnages de l'Ombre du vent.

Un homme, une femme, de l'érotisme, du plaisir et de l'amour.
Voilà les 50 nuances de Grey. On se prend rapidement au jeu de ce roman...

L'Italie et la Libye, deux pays séparés par la Méditerranée. Cette mer, Farid la découvre lorsque son père est tué quand la Libye est en proie à une guerre civile. Sa mère, Jamila, décide de fuir avec lui vers l'Italie.
Vito, âgé de dix-huit ans passe ses vacances avec sa mère Angelina sur une île près de l'Italie où ils habitent. Angelina dont les parents sont italiens est née en Libye où elle vivra jusqu'à ses 11 ans lorsque le colonel Kadhafi arrivera au pouvoir et les chassera. De retour en Italie, la famille ne se sentira jamais chez elle.
Jamais plus ils ne se sentiront chez eux, la Libye c'était leur pays, leur vie.
Deux mères, deux fils, un exil, l'Histoire qui les réunit.