Rosalie ne peut pas rester à ne rien faire lorsqu'elle assiste à une agression dans le tram. Prenant son courage à deux mains, elle devient l'héroïne de la jeune victime. Et sa mission parait alors évidente : Rosalie doit prendre soin de cette fille qui a tant besoin d'elle. Cela coule de source, n'est-ce pas ?
Le plus mauvais livre du monde, c'est celui sur lequel on ne veut pas tomber, surtout lorsque l'on n'a plus de batterie sur son téléphone et de longues heures à ne rien faire. Mais il existe un sort bien pire encore : croiser par hasard l'auteur de ce livre particulièrement mauvais. Et lui parler.
« Maman pirouette. Elle a la tête d’une petite fille qui s’attend à se faire disputer. Ou celle d’une vieille femme perdue dans les limbes. » A Céline G qui, tout comme la narratrice de ce roman, accompagne de temps à autre sa maman pirouette dans le Pays imaginaire !
Je serai vivante raconte une vérité dérangeante, lourde, triste : celle du viol. Le récit est rédigé à la première personne et la narratrice, qui est aussi la victime, s’adresse à « Monsieur l’officier ».
Trônant au milieu de la jungle, un arbre majestueux accueille, comme chaque année, des hôtes aux plumages colorés. Après des semaines d'amitié et de partage, les oiseaux quittent leur « nid » avant la saison des pluies. Seul un curieux spécimen de couleur rouge s'accroche aux branches du végétal si confortable et rassurant.